(f/libre) and you suffocate in my kiss

i broke my bones playing games with you
   (f) (Dita Nom) - entre seize et dix-neuf ans - lycéenne, pensionnaire d'une école privée ou étudiante - statut civil au choix. (libre)
   Description personnage :
Dita c'est la princesse pétasse qui écrabouille tout sur son passage. Jeune et pourtant, le comportement dépasse celui des divas acariâtres. Ses parents ne sont pas des exemples et elle refoule tout, elle devient implacable, manipulatrice et cruelle envers les autres.
Description du lien :
Dita, elle a toujours la tête qui tourne et les jambes salopes qui se dérobent sous elle à chaque fois qu’elle porte l’regard sur ce sale con. Elle a toujours le cœur qui bat et la sensation de n’avoir rien à quoi s’accrocher, mis à part lui, il éclipse tout et devient vite (trop, excessivement, de manière occulte) son seul repère. Il suffit qu’il lui lance une œillade et , à partir de là, sa journée est considérée comme faite. Elle ne sait plus quand, ni même comment mais le cercle est vicieux, comme ses manières, et elle y est franchement emprisonnée. C’est dans ces soirées où les joints et les bouteilles passent d’un individu à l’autre sans se soucier de détails pas si importants ( comme l’âge ou le rang social ou tout autre chose qui compte lorsque les bulles et les nuages éclatent) ; là, qu’ils se jettent l’un sur l’autre et se racontent dans des tons chauds, des tas de corps à corps dont elle ne ressort jamais indemne. Généralement,il se passe une main dans les cheveux, s’allume une clope et elle, elle se contente de le regarder, admirative, insatiable des rêves qu’il lui colle dans le crâne. Pourtant, entre eux, il le répète depuis le début, c’est que de la baise. Il est amoureux d’une autre. Dita, c’est ce numéro, cette fille qu’il appelle lorsqu’il se sent seul, qu’il veut tirer son coup, s’abandonner à la luxure et tout renier jusqu’à la première lettre. Il se peut que ce soit un A. Entre les deux, les humiliations se succèdent mais, celle qui en souffre toujours, c’est Di-ta. Seulement, lorsqu’il prononce son prénom, de cette façon là et qu’il s’enferme dans ce mutisme qui le rend si vulnérable, elle a l’impression qu’elle est la seule à pouvoir le sauver. Elle ravale sa fierté, étouffe sa dignité, oublie qu’elle possède – généralement- de la verve et de l’orgueil. Dans ce jeu, elle se brise les os, elle crache sur tous ses principes. Elle éclate en sanglots et se reconnaît comme l’arroseur, arrosé. Parce qu’elle est celle qui d’habitude piétine les cœurs. Avec lui, tout part de traviole, tout se pète la gueule, tout n'a plus de sens, paradoxe car elle n'a l'impression d'être entière qu'à ses côtés. Qu'aux instants où il plonge le nez au creux de son cou, lorsqu'il dort à poings fermés et qu'elle s'imagine ce que ça pourrait donner s'il la traitait avec plus de respect, si elle comptait vraiment. Pourtant, lorsque les paroles se font sales et les regards incendiaires, lorsque l'air devient irrespirable et qu'ils se mettent durant plusieurs semaines à se faire la guerre, la certitude demeure quand même. Il lui offre des "tu sais bien que je n'verse pas dans le sentimentalisme"  elle se contente de ricaner, se moquant ouvertement de sa bobine en le narguant : "mon pauvre, et tu te demandes pourquoi est-ce que tu rames avec elle ?". Ils se connaissent, suffisamment, sous toutes les coutures - même celles reprisées -, ils se comprennent , ils se font mal, ils se déchainent. Mais, Martijn lui ment et se ment surtout à lui-même. Il se peut qu'il la perde et que le manque mette en évidence à quel point, bien au fond, il l'a dans la peau, sa Dita.
   les célébrités / zara larsson    ou autre, c'est complètement négociable    pareil pour le prénom son histoire est up to you dans son intégralité    
   

coucou mon petit chat
J'espère que le pseudo te va hein, sinon on en discute au pieu quand tu veux parce que ouais, reprendre son souffle en séance cardio, ça peut être bien parfois.

ptn, toi, tu fais ma journée.
j'ai jamais aimé les dimanches mais, tu viens de me faire changer d'avis.
pour le souffle, je l'ai au coeur, là, tébelle.
merci btw

Mais les dimanches, c'est fait pour se coller.
Allez viens-là, ta Cade va tout t'faire oublier

Tout le plaisir est pour moi,
Faut juste pas que j'te décoive en route, voilà