♠ i know how you look into a mirror

Vince Delacour

It's just another night And I'm staring at the moon
I saw a shooting star And thought of you I sing a lullaby

Nom complet : Vince Delacour. Aux origines tracées, au patronyme qui sonne l'appartenance à une lignée dont les racines s'ancrent dans une France qu'il n'a jamais foulé. Grand aventurier, l'idée de visiter l'hexagone lui avait autrefois effleuré l'essence sans jamais mettre à exécution le projet, trop peu de temps, trop peu d'instants pour laisser battre le palpitant. Vince, Vince, Vince, le prénom qui résonne, qui, inscrit dans le livret de famille, provient de générations antérieures, donné par le passé à son grand-père. Date de naissance, âge : Quatorze février. A la fête des amours qui ne lui a jamais réussi. Aux attentions, aux doux instants transformés en géhennes esquintantes, en corvées douloureuses et forcées. Trente neuf ans, une quarantaine qui approche bien trop rapidement pour celui qui parfois ressent la pointe de nostalgie d'une vingtaine innocente et insouciante. Origines, nationalité : Racines françaises, canadiennes, américaines. Orientation sexuelle : Hétérosexuel. Occupation : Le poing cogne sur la table de bois. La voix s'élève, la voix retentit sur les façades des pièces où jurés, procureurs, coupables, innocents et spectateurs ont le souffle coupé. Il a été avocat, la renommée qu'on ne pouvait pas lui enlever. Puis le drame, l'horreur, l'enfer qui s'abat. Il devient animateur pour enfants et adolescents et l'est encore aujourd'hui. Situation financière : Modeste. Pas à plaindre, plutôt bien logé, nourri et les fins de mois où il n'a pas à se serrer la ceinture. Économe de nature, il ne connaît pas les folies, ne les côtoie plus depuis longtemps ce qui lui permet d'avoir une situation stable. Statut civil : Veuf depuis neuf ans. Sa première femme, l'épouse, l'exquise dont le souvenir jamais ne quittera sa mémoire, sa conscience brisée par le mauvais exemple, le mauvais mari qu'il a été envers elle. Elle était tout, elle était divine, captivante. Inoubliable. Divorcé, depuis six mois il a repris le quotidien d'un célibataire. Pourtant, deux enfants avec la nouvelle muse, avec celle qu'il pensait être le point d'un nouveau départ. Il l'aime, complètement, entièrement. Elle et ses habitudes, elle et son caractère bien trempé, son impulsivité, ses poings levés, elle qui hurle, qui crie dès les injustices commises, elle qui met un point d'honneur sur l'authenticité, l'honnêteté et les blessures. Ces dernières, ouvertes, elle taille, taillade la cuirasse jusqu'à transpercer par les mots choisis avec minutie. Mais Vince, il l'aime encore, et il l'aimera, encore et toujours. Néanmoins, il tente de tourner la page, à aller, ici et là, l'abandon dans les courbes féminines. Caractère : Affectueux, aimable, calme, bavard, bienveillant, captivant, chaleureux, convaincant, critique, cultivé, débrouillard, décontracté, divertissant, dynamique, éloquent, empathique, entreprenant, intrépide, passionné, persuasif, rusé, sincère, vigoureux, abrupt, compliqué, désinvolte, impatient, imprudent, mesquin, possessif, provocateur, tempétueux. Célébrité : Jensen Ackles. Groupe : Jada Pinkett.

I sang a lullaby for you

/ Gardez-vous de bons souvenirs de votre enfance ? : Énormément. Il a fait les quatre cents coups, gamin aventurier qui aimait découvrir, explorer et qui en profitait pour ramener frères et soeurs à ses côtés. Les frayeurs, multiples, les escapades nocturnes dans les bois pour faire hérisser le poil des plus peureux. Et les fêtes de fin d'année où tous, réunis autour d'une grande table à manger, prenaient plaisir à partager des moments qui aujourd'hui ne sont plus aussi magiques qu'auparavant.
/ Quel genre d'enfant étiez-vous ? : Hyperactif, intenable et ingouvernable, les instituteurs n'en pouvaient plus de voir l'enfant, si agité, et ne parvenaient pas à le calmer. Il vagabondait, se retrouvait dans des salles abandonnées de l'établissement scolaire après s'être aventuré pendant deux heures alors que tout le monde le recherchait. Sociable, il avait un petit groupe d'amis qu'il appréciait amener dans les bêtises. L'innocence même et l'insouciance, une époque où rien ne pouvait l'arrêter.
/ Plus jeune, quel était votre objet préféré ? Une lampe de poche. Aussi inutile que cela puisse paraître pour un gosse, il l'avait constamment sur lui, notamment à l'heure du coucher. Sous la couette, il éclairait les pages de livres et bouquins qu'il voulait feuilleter et parfois, s'abandonnait à des flâneries hors de la maison pour rencontrer le jardin plongé dans la nuit. Et la lampe de poche était dès lors indispensable.
/ Parlez-nous de votre famille : Unie, désunie, parfois réunie. Une fratrie de quatre qui s'entend comme elle le peut. Des mésententes, des frictions qui imprègnent les bonnes relations, qui deviennent mauvaises et ingérables. La famille, un bazar du début jusqu'à la fin, des racines jusqu'à celle qu'il a fondé. Des parents aimants, toujours présents, mais qui avaient leur préféré et qui le désignaient sans gêne aucune. Lui, celui qui aime éperdument ses enfants mais qui ne le montre pas assez, celui qui donnerait tout pour l'être-aimé, mais qui ne le traduit pas par ses actions. Là-dedans, tout le monde s'aime mais beaucoup pensent qu'il n'y a que de l'indifférence.
/ Quel est votre ressenti à l'égard des enfants ? : L'avenir, voilà ce qu'ils représentent. Du haut de mètre atteint, ils représentent l'espoir, l'autre vie, le lendemain. Innocents, ils ont cette authenticité qui ne trompe pas, cette ferveur qu'ils emploient dans la plus petite des choses qu'ils conçoivent, qu'ils entreprennent. Ils sont tous uniques, tous précieux, ont tous ce quelque chose qui font d'eux des êtres attachants. Les calmes, les turbulents, les colériques, les capricieux, les retirés, les solitaires, ils méritent tous d'être appréciés, et cette affection, Vince la leur donne comme s'il s'agissait de ses propres enfants.

1. Hey daddy, could you be a little more like a daddy to me ? Dans sa coque, il s'enfermait. Le chuintement d'une porte qui grince, dans l'embrasure, la silhouette enfantine d'une gamine aux cheveux d'un éclat doré. Elle est là, elle se tient sans un mot, observe avec intérêt la figure paternelle qui ne lève pas directement les yeux pour la contempler. Il ne l'a pas vu, dans l'immédiat. Ce n'est qu'une poignée d'instants plus tard, quand il repose stylos, feuilles et referme le clapet de l'ordinateur qu'il percute les abysses claires de l'enfant. Un sourire s'esquisse sur le visage fatigué, un mouvement, un geste instinctif, il ouvre les bras et elle se précipite entre eux pour lui souffler « Bonne nuit ». 2. God, can't you have your eyes on me just for once instead of looking at your files again and again ? L'intonation s'élève, la voix autrefois fluette prend une certaine ampleur qui l'oblige à river son attention sur celle qui se tient face à lui. Elle est là, le regarde, le toise avec cette expression qu'il connaît si bien et qui, pourtant, ne cesse de l'amadouer. Il lâche tout, se lève pour peut-être lui montrer cet élan d'affection qu'elle attend tant. Et pourtant, d'un pas en arrière, elle augmente la distance, comme prête à cette fois-ci ne pas céder à ce pardon qu'il veut faire passer. Elle aurait aimé que cela ait été instinctif, elle aurait aimé qu'il lui donne tout cet intérêt de lui-même quand elle pénétra dans la pièce, sans avoir à faire une remarque pour lui soutirer mots et actions. 3. How could you run away and not save her, how could you simply leave her all alone in the dark, on the road while she was dying ?! D'you wanna know the answer ? That's because you were drunk. You're a coward and you deserve to rot in hell. On lui hurle de baisser d'un ton, de s'assoir pour laisser la parole à l'accusé. Mais rien n'y fait. Quelques secondes plus tard, il se retrouve si près de l'homme, si près du coupable, ça le dégoûte de respirer ce même air, ça le dégoûte de le voir en si bonne forme dans son apparat orange alors que la femme est six pieds sous terre et qu'on a pleuré sa mort il y a un mois déjà. 4. They say that time heals wounds. I don't know if that's true, still feel the pain and her absence, even if I've got someone else now in my life. Ses cheveux sculptent ses épaules, ils tombent sur son buste et lui donne cette grâce, ce charme qui l'a fait succomber. L'alarme a sonné, a tiré des bras de Morphée les âmes endormies. Elle est là, au bord du lit, à tenter tant bien que mal d'émerger alors que lui, encore enroulé dans le linceul, la scrute d'une œillade insistante. Dans la pénombre, il reconnaît tout de même chaque détail mais se plaît à en chercher de nouveaux quand l'occasion se présente. Elle s'apprête à quitter les draps, mais d'un geste vif, il la rattrape par le bras et la tire vers lui et l'oblige à supporter l'étreinte quelques instants. Elle n'a qu'à arriver en retard, il n'en a, sur le moment, rien à faire. 5. The sound of the engine purring. It finally growls. A melody I never get tired of. La carcasse métallique sous sa paume, il caresse le siège comme s'il ne l'avait pas chevauché depuis un certain temps. Pourtant, ce matin il l'avait déjà utilisé pour se rendre sur cet énième lieu de travail où il exerçait un métier qui lui tenait à cœur. Voir sur les lèvres les sourires des enfants qui s'étirent, entendre les rires, les pleurs et être le moteur de jolis souvenirs qu'ils garderont en eux. Il rencontre les parents, parfois aimerait mettre son grain de sel dans l'éducation donnée mais il sait que lui, il n'est qu'aux yeux des autres, un pion pour occuper la marmaille quand personne ne peut s'en soucier. Mais Vince, il est heureux. De contribuer à leur culture, de les emmener ici et là, de part et d'autres de la ville pour leur faire découvrir toutes sortes de choses par le biais d'activités. 6. Do you want to know what I think of all of this ? I think you forgot that you have children of your blood to take care of. Pour ainsi dire, on lui a claqué la porte au nez. Et dans une fierté qu'on lui connaît occasionnellement, il a répliqué. Sous cette colère qu'il contient d'habitude, il la laisse s'évader et c'est sans retenue aucune, à l'image de sa femme, qu'il déblatère les atrocités et paroles finalement regrettées bien qu'il ne se l'admette jamais. Elle aussi, a été cruelle. Il n'a fait que lui rendre la monnaie de sa pièce, décision qui le rend amer encore aujourd'hui, six mois après le divorce prononcé et accepté par les deux partis. 7. And she's the only one that I love, that I would give my life to save hers. For eighteen years, it has been this way and I would like to keep it that way. Sa fille a les yeux de sa mère et quand il pose le regard sur elle, il aperçoit les traits si familiers. Fidji le rend nostalgique mais il a appris à avancer avec le temps qui file, qui lui, ne prend pas une pause pour contempler des événements passés. Il aime être en sa compagnie, aime passer du temps, même le plus infime, avec elle. A vélo ou en promenade, à l'obliger à s'assoir sur le canapé pour regarder un film qu'il a prétendument téléchargé légalement, il a ce lien, fort et incassable. De tours de moto il lui donne ce sentiment de liberté, puis, parfois quand il se souvient qu'il est père et pilier, il frappe à la porte de la sa chambre et, dans un tact qui lui est légendaire, creuse dans la vie amoureuse de sa gamine. Simplement protecteur. Ou surprotecteur. 8. Apparently, knowing how to sing and have a little beard can give you a lot of attention from women. Well, that's what I've heard and that's what I've seen. Il descend de l'estrade avec ses comparses musiciens, s'accoude au comptoir et commande le verre de whisky dont l'odeur l'attirait depuis le début de la soirée. Soucieux, il observe la bague qui orne l'une de ses phalanges. Il ne l'a toujours pas enlevé, l'indécis qu'il est ne veut pas croire à la fin d'une histoire. Et pourtant. Une frappe à l'épaule, le confident s'approche et l'incite à s'en débarrasser. C'est fini, t'as pas besoin de perdre davantage de temps à t'accrocher au passé, qu'on lui souffle continuellement. Il n'y croit pas. Et pourtant, pour la première fois, il craque, l'enlève et la met dans sa poche tout en attrapant le verre qui l'attend. Une œillade rapide à sa gauche, à sa droite, l'une parmi tant d'autres percute son attention dans un regard qu'elle soutient cupidement. Et, optimiste, il esquisse un sourire qui lui est adressé. Finalement, plein de regrets.

I can hear your heart

Pseudo/Prénom ≈ Clarence.
Âge, pays ≈ Vingt-et-un ans (France).
Fréquence de connexion ≈ Tous les jours.
Type de personnage ≈ Inventé.

JENSEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEN ♠ i know how you look into a mirror 2612766929

Bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche ♠ i know how you look into a mirror 1499792815

Jensen

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bienvenue sur le forum !

Alicia McKinley a écrit:: JENSEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEN
Bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche

Tant d'engouement, tu mériterais presque un hug mais je suis sans cœur. I love you

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Je te remercie pour l'accueil et Lily est parfaite. ♠ i know how you look into a mirror 3146975074

Amélia Turner a écrit:: Jensen bienvenue sur le forum !

Une gamine. ♠ i know how you look into a mirror 1118483670

Je te remercie pour l'accueil ma p'tite. I love you

qui tu traite de gamine ! ♠ i know how you look into a mirror 3973744910

Amélia Turner a écrit:: qui tu traite de gamine !

Je traite personne voyons, je fais que constater ♠ i know how you look into a mirror 3725027154

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Bref, tu auras compris que ton choix d'avatar est parfait!!! ♠ i know how you look into a mirror 1374643570

Bienvenue. ♠ i know how you look into a mirror 144063004

Gillian Miller a écrit:: Bref, tu auras compris que ton choix d'avatar est parfait!!!
Bienvenue.

Mila, Mila, Mila, cette femme est une déesse. ♠ i know how you look into a mirror 3132188593

♠ i know how you look into a mirror 2973178210

*construit un autel à la gloire de Mila, et Gillian par la même occasion* ♠ i know how you look into a mirror 1118483670

Je te remercie pour l'accueil ♠ i know how you look into a mirror 3247613341

Oh j'adore. ♠ i know how you look into a mirror 596712618

On se trouvera un lien mon beau. ♠ i know how you look into a mirror 144063004

Gillian Miller a écrit:: Oh j'adore.
On se trouvera un lien mon beau.

J'espère bien que t'adores. ♠ i know how you look into a mirror 3973744910

Et évidemment, tu ne pourras pas y échapper ♠ i know how you look into a mirror 1118483670

pfiouu Jensen, je l'aime tellement
bon courage pour faire ta fiche !

Alva d'Aroz a écrit:: pfiouu Jensen, je l'aime tellement
bon courage pour faire ta fiche !

Nina, cette beauté ♠ i know how you look into a mirror 3973744910

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Je te remercie pour l'accueil ♠ i know how you look into a mirror 1118483670

JENSEN. ~~épouse moi~~
bienvenue, n'hésite pas si tu as des questions.

Liam Hastings a écrit:: JENSEN. ~~épouse moi~~
bienvenue, n'hésite pas si tu as des questions.

Merci pour l'accueil mon beau monsieur ♠ i know how you look into a mirror 1118483670

Je n'hésiterais pas si questions il y a ! tongue

Très bon choix d'avatar I love you

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Bienvenue sur le forum et bon courage pour ta fiche, si tu as des questions n'hésite pas ♠ i know how you look into a mirror 1647647526

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Juliette Prescott a écrit:: Très bon choix d'avatar .
Bienvenue sur le forum et bon courage pour ta fiche, si tu as des questions n'hésite pas .

C'est qu'elle est toute jolie la Juliette. ♠ i know how you look into a mirror 3725027154

Je te remercie pour l'accueil et pas de problème si j'ai des questions, je viendrais frapper à ta porte ♠ i know how you look into a mirror 1118483670

Mon papa tellement sexy ♠ i know how you look into a mirror 2973178210

Invité Invité

bienvenue et bonne chance pour ta fiche

C'est gagné !
It's just another night And I'm staring at the moon
I saw a shooting star And thought of you I sing a lullaby

liens ✩ pré-liens ✩ métier ✩ flood
Ta plume est plus que magnifique ♠ i know how you look into a mirror 1499792815

J'adore ton personnage, et ce, de a à z ♠ i know how you look into a mirror 3132188593

Fiche bien évidemment validée ! Bon jeu ♠ i know how you look into a mirror 3278960910

T'es gentillesse, merci beaucoup I love you

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