(w/noan) "Le bonheur, c'est quand on veut que demain soit un autre aujourd'hui."

Aujourd'hui tu avais rendez-vous avec Caesar pour manger ensemble. Te voilà dans cette pizzeria, te voilà seule à cette table, à attendre l'homme qui fait battre ton coeur, l'homme pour qui tu éprouves des sentiments. Ton téléphone dans les mains, tu lui envois un SMS, tu veux savoir ou il est. Une réponse, ton coeur se brise, tes yeux se ferment ; Deux petits mots "soirée annulée". tu appelles le serveur, tu payes ton addition, ton verre que tu avais pris pour l'attendre. Il te regarde des excuse dans les yeux, tu te lèves, tu remets ton manteau, tes gestes sont lents. tu es honteuse, tu sors de ce foutue restaurant et reprends ton téléphone. Noan voilà le nom qui s'affiche en premier "besoin de toi, tu fais quoi?". tu remets ton téléphone dans la poche, avant de marcher les larmes coulant doucement sur tes joue rosies. Tu marches sans savoir ou aller, tu arrives rapidement près d'un lac "je suis au lac". Tu t'assois sur l'herbe. Tu voulais faire de la moto, partir loin de cette ville. Il arrive enfin. Tu te redresses tu approches de lui et tombes dans ses bras "Merci". il était vraiment toujours là pour toi "Désolé de te déranger aussi tard" Noan, un ami de ton père, que tu aimais particulièrement. Ce type était adorable et toujours présent pour toi toujours le mot pour te faire rire. Il est aussi là quand une dispute éclate avec ton père.

Le bonheur, c'est quand on veut que demain soit un autre aujourd'hui

Fidji & Noan.

Il était en train de changer une pièce du moteur de sa sublime bécame, lorsqu’il reçu le sms de la jeune Fidji. Il aimait cette moto et les deux roues en générale. C’était peut-être parce que son père trouvait que c’était un engin de racaille et des bas rues, qui était contre nature avec son statut sociale, qu’il l’aimait autant. Sa petite marquise était ce qu’il avait de plus précieux à part sa famille. Pourquoi, ce nom stupide ? Il n’en savait rien… Encore un bon délire avec son meilleur ami Vince. Justement, c’était sa fille qui venait de lui envoyer un message. Ce n’était pas rare, dès qu’elle avait des problèmes avec son paternel, elle se tournait vers lui. Elle était une petite fille lorsqu’il l’avait rencontré, et aujourd’hui, elle était une grande fille… un peu trop sexy. S’il était son père, il l’aurait sans doute enfermé dans un couvent. « Je suis là dans dix minutes ! » Il mit sa veste en cuire et se dépêcha de la rejoindre. Il était tard, et il n’aimait pas vraiment la savoir dehors, toute seule. Il avait dû griller deux ou trois feux rouges. Qu’est-ce qu’il lui prenait de se dépêcher autant pour une fille qui n’était pas la sienne ? Pour la simple et bonne raison qu’il tenait à elle. Il se gara et ne mit pas longtemps à la retrouver, puisqu’elle lui sauta dans les bras et s’y blottit. « C’est normal ma belle ! Ton père m’aurait tué si je t’avais laissé seule dehors. » Il l’emmena vers un banc et l’y installa comme un père l’aurait fait avec elle. « Qu’est-ce qui se passe ma belle ? Est-ce que quelqu’un t’a fait du mal ? » Il était légèrement inquiet. Bizarre pour quelqu’un qui ne s’intéresser qu’à sa famille.

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Tu ne sais même pas pourquoi tu as pris ton téléphone pour le joindre lui, pourquoi pas ta tante ou encore ta meilleure amie? Sans doute, car un lien spécifique t'unit à lui, ce genre de lien que personne ne peux comprendre. Tu l'attends avec impatiente, les plus longues dix minutes de ta vie. Tu trembles de froid, tu sais même pas pourquoi tu lui fais aussi confiance à Caesar, pourquoi il fallait toujours que tu tombes sur des cas des qu'il s'agissait d'amour? TU ne pouvais tout simplement pas trop trouver l'homme parfait tu premier coup d'oeil? Il arriva enfin, tu lui sautas littéralement dessus, sentant ses bras se refermer sur toi, tu n'aurais voulu ne plus jamais bouger. Ses bras te donnaient un sentiment de sécurité "Mon père ? il doit être avec Cami, même pas un SMS pour me dire qu'il allait m'empêcher de rentrer". Tu rigolas, enfin un petit rire. Car cela te faisait de la peine si il était vraiment avec Cami. Tu te reculas doucement du corps de Noan, bien que tu aurais voulu y rester toute la soirée. Tu ne pouvais pas vraiment lui parler de Caesar, trop compliqué, trop dangereux "Je peux te poser une question? Et tu réponds sincèrement". Tu plongeas ton regard dans le siens "Pourquoi je tombe que sur des cons ou pourquoi les hommes sont cons?". Tu posas ta tête tout en écoutant sa réponse sur son épaule, trop de contact entre vous, trop près de la tentation, mais tu ne pouvais tout simplement pas te reculer

Le bonheur, c'est quand on veut que demain soit un autre aujourd'hui

Fidji & Noan.

Elle n’avait pas vraiment l’air bien. Il n’était pas stupide, il voyait bien que quelque chose n’allait pas. Déjà, c’était la première fois qu’elle montrait autant d’affection avec lui. Ce n’était pas que c’était désagréable. Elle était plutôt jolie fille mais, il l’avait connu gamine… C’était un peu comme s’il se sentait attirer par sa petite sœur de vingt ans. Pourtant, il ne la quitta pas et il ne l’empêcha pas de poser sa tête sur son épaule. « Ah ton père !!! ça me fait penser qu’on avait décidé d’aller dans ce nouveau bar de strip tease. » dit-il en explosant de rire. Vince était son meilleur ami mais en ce qui concerne l’éducation, on ne pouvait pas dire que c’était le roi. Ils mirent de nouveau sur le banc et il l’écouta. Il ne put s’empêcher d’avoir un sourire. « Tu sais les femmes c’est pas mieux. » dit-il en pensant à une brune qui lui faisait tourner la tête… Et puis, il y avait aussi sa fiancée qui était un peu trop bizarre. C’est vrai, il n’arrêtait pas de lui que le mariage était une grosse connerie et pourtant elle s’accrochait comme un aimant. « Je crois que nous les hommes, on a besoin que vous nous disiez vraiment ce que vous voulez. Tu veux un chien dis le. Tu veux un homme. Dis lui. » Ouah, c’était bien la première fois qu’il donnait d’aussi bon conseil. Il était même surpris. Bon, il n’avait pas vraiment envie de rester là mais, il le ferrait pour la jeune femme.

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